Événement tragique et bien garder [Jolianne]

Élizabelle ne savait pas qu'elle était enceinte avant quelque jours. Elle était seule a la maison avec David. Il était tous les deux atteintes d'une hépatite a cause d'une transfusion sanguine qu'avait eu Élizabelle , quand elle était encore malade. Ils avaient toutes les deux besoin de se reposer. Éllizabelle lui avait donner l'hépatite parce qu'ils avaient fait l'amour sans protection quelque jours avant qu'elle apprenne qu'elle était malade de nouveau. Cette journée la elle c'était lever avec un mal de dos. Elle n'avait pas repris encore la danse donc elle avait mal partout. Élizabelle avait demander a David s'il pouvait lui massé le dos. Les deux jeunes gens était seule a la maison.Jolianne était a l'école et les parents était partie pour la journée.

Elle était étendu sur le lit et elle c'était presqu'endormie quand elle sentit des contractions comme quand elle avait accoucher de Gabriel. Elle regarda David et il vit bien qu'elle était paniquer. Il appela le médecin qui arriva rapidement , car il était dans le coin. Il annonça a la jeune femme que le travaille avait commencer qu'il devait l'accoucher , mais Élizabelle ne savait même pas qu'elle était enceinte. Apres deux heures tout était fait la jeune femme avait accoucher d'une petite fille qui n'avait même pas eu la chance de vivre. Élizabelle ne voulait pas que quelqu'un de la famille sache qu'elle avait fait une fausse couche. Donc portèrent en terre leur fille qu'ils avaient décider de prénommé Marie-Ange.

Ils étaient les seuls a savoir son existance, même Jolianne a qui Élizabelle disait tout n'en savait rien jusqu'à aujourd'hui.Tout c'était passé en début de semaine. Et depuis Élizabelle n'était pas sortie de sa chambre. David lui apportait des plateau pour qu'elle mange un peu , elle ne mangeait plus . Il ramenait toujours les plateau comme il les avait apporter.

Élizabelle était malade , selon David elle avait attraper une grippe, mais Élizabelle avait l'habitude de manger même malade , quand elle ne le fesait pas c'était parce que quelque chose de vraiment grave était arriver.

Un soir David sortie prendre une marche , Élizabelle était rester dans sa chambre rideaux tiré , lumière fermer. Il fesait si sombre dans sa chambre. Elle était allonger sur son lit rouler en boule. Elle avait les genoux remonter sur sa poitrine et elle pleurait encore a chaude larme.

Jolianne qui s'inquiètait pour sa mère décida de frapper doucement a la porte de la chambre de sa mère qui était fermer . Élizabelle sursauta , elle était enfoncer dans le déni. Elle répétait sans cesse,

« Rendez moi ma fille.»

Jolianne ne savait pas du tout pourquoi sa mère était comme sa . Élizabelle était brulante et elle tremblait . Elle n'avait pas pris sa douche depuis quelque jour. Jolianne venait justement la voir pour lui demander si elle voulait qu'elle lui fasse couler un bon bain chaud.

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Jolianne après la maladie de sa mère avait décidé de rester ici à Seattle aussi bien chez elle que pour les cours. Elle ne voulait plus retourner là bas vu que sa meilleure amie était encore ici aussi... Et qu'elle habitait ici. Elle allait dans la même école et dans la même classe. Puis elle ne voulais pas vivre loin de son petit frère Gabriel d'un an.

En plus sa maman et son beau-père étaient malades, ils avaient une hépatite, donc Jolianne était souvent là pour les aider dans le ménage, la nourriture et surtout avec Gabriel. Mais elle ignorait encore que sa maman était enceinte, qu'elle faisait un déni de grossesse, qu'elle attendait une petite fille. Depuis l'annonce qu'elle était malade, Elizabelle ne sortait pas énormément... Jolianne du lundi au vendredi sortait pour aller à l'école, et le week-end elle le passait en famille ou alors elle était chez Manon.

Aujourd'hui, elle était à l'école quand le drame se passa, ils durent appeler le médecin car elle faisait une fausse couche. Quand elle arriva à la maison le soir, elle sentit qu'il se passait quelque chose, sa maman et David avaient les yeux rouges, ils avaient pleurer... Elle avait posé des questions, mais ils n'avaient pas répondu. Ils avaient juste dit que ça ne concernait pas les grands parents ni Gabriel. Elle était soulagée, mais elle avait tout de même peur... Elle essayait de savoir ce qu'il se passait mais rien n'y faisait. Elle ne sut même pas que sa petite soeur avait été enterrée dans le cimetière qui se trouvait pas loin de la maison.

Jolianne s'occupait de Gabriel, elle refusait que les deux adultes s'occupent de Gabriel en sa présence, elle l'habillait le matin, lui donnait à manger, jouait avec lui, lui donnait son bain. Trouvant le comportement des deux jeunes gens bizarre. Elle les punissait d'une certaines manière de ne rien dire. Quand elle vit que tous les jours, David rammenait les plateaux vides, elle sut qu'il y avait quelque chose de grave. David lui avait mentit et elle le savait. Ils s'étaient d'ailleurs prit la tête ce jour là car pour Jolianne on la prenait pour une conne.

Un soir que David n'était pas là, Jolianne rentra dans la chambre de sa mère, les rideaux étaient tirés et la lumière fermé. Elle alluma et se rapprocha du lit de sa maman. Elle était allongé sur son lit en boule, en position foetale et elle pleurait, Gabriel dormait déjà à ce moment là. Jolianne était inquiète, Elizabelle sursauta, Jolianne entendit enfin ce que sa maman disait. Elle ne comprenait rien... Pourquoi disait elle de leur rendre leur fille. Elle était là. Jolianne monta sur le lit, elle vit alors que sa mère était brulante et tremblante, elle mit sa main sur son front... Elle devait avoir de la température. Jolianne en profiterait pour lui parler d'un bon bain. Elle dit à sa mère en lui caressant son bras ayant peur de la prendre dans ses bras...

"Maman c'est Jolianne... Que se passe-t-il ? Depuis une semaine tu ne sors plus d'ici ? Tu pleures ! pourquoi devrait-on te rendre ta fille ? Tu n'as qu'une fille et c'est moi... Et je suis là près de toi... Que dirais tu aussi de prendre un bon bain ? Cela pourrait te faire du bien..."

Élizabelle avait eut tellement mal quand le médecin lui annonçait que le travail était commencer et qu'elle ne savait pas du tout qu'elle était enceinte. Elle n'avait plus envie de rien . Elle avait vraiment du mal a croire a tout cela. Sa vie ne serait plus jamais la même. Elle aurait toujours un peur de retomber enceinte après cette grossesse dont elle n'était même pas au courant.

Elle avait fait une crise de folie ou se qui pouvait lui ressembler quand le jeune médecin lui avait annoncer que le travaille avait commencer. Elle ne c'était pas changer depuis le jour de l'accouchement. Elle avait enfiler une paire de Jogging et un t-shirt a David. Elle n'avait pas du tout envie de parler et de sortir de la maison. Elle avait envie de rester dans sa chambre les rideaux tiré et la lumière fermer. Quand David était entré se soir pour lui porter le plateau elle n'avait pas voulut manger et une chicane avait éclater entre eux. Voila pourquoi David était partie marcher on ne sai ou.

Puis elle avait refermer la porte quand son mari était partie. Elle n'avait pas vue Gabrielle de la semaine. David était revenue il avait comprit le message que lui avait dit Élizabelle tout a l'heure et il venait s'excuser. Mais il remarqua que jolianne frappait a la porte de sa mère.

Jolianne entra et Éli sursauta et elle alluma la lumière se qui ne plut pas du tout a Éli. Elle se leva d'un bon et referma la lumière et s'assit sur le rebord de la fenêtre. Elle avait pas du tout envie de parler pour le moment. De toute façon se qui sortait de sa bouche était toujours la même .

Elle n'arrivait pas du tout a dire a sa fille aînée se qui se passait. Quand Jolianne lui dit qu'elle n'avait qu'une seule fille. Elle prit la main de sa fille et elle l'amena avec elle dehors. En passant le halle d'entré elle mit ses botte et son manteau avant de sortir avec Jolianne.

Elle ne prit même pas la peine d'attacher son manteau puis elle amena sa fille ou Marie-Ange reposait maintenant. Ce fut dur pour elle de revenir la . Mais elle devait le faire. Pour que sa fille sache tout. Elle avait dit a David de tout lui dire, car elle en était incapable, mais ce dernier ne voulais pas. Voila pourquoi il c'était disputé.

Elle arriva devant la pière tombale de leur fille.

Événement tragique et bien garder [Jolianne] Ange07

Événement tragique et bien garder [Jolianne] Ange07

Il avait d'écrit aussi le nom de David comme père et le nom d'Élizabelle comme mère. Il avait aussi la date de sa mort. Élizabelle , elle ne voulais pas du tout approcher la tombe pour le moment.

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Jolianne trouvait que sa mère et David changeaient, elle pensait à quitter cet endroit et à prendre Gabriel avec elle pour qu'il soit en sécurité. Elle ne savait pas ce qu'il se passait, elle sentait qu'elle était étrangère à sa propre famille et ça lui faisait énormément de mal. Elle ne comprenait vraiment plus ce qu'il se passait.

Bien sur qu'elle en avait discuté avec Manon et sa maman, et celles-ci voulaient bien qu'elle vienne habiter chez elles le temps que ça se calme. Dans un premier temps elle avait refusé mais hier, elle avait envoyé un SMS pour lui demander si à partir d'aujourd'hui elle ne pouvait pas venir chez elle deux ou trois jours. Elle en avait besoin, elle avait besoin de se confier à quelqu'un, à une personne sur qui elle pouvait vraiment compter en ce moment.

Si David était partit c'est parce qu'il y avait eu une chicane entre eux. Jolianne en avait profiter pour aller voir sa mère... Mais Elizabelle ne faisait même pas attention à sa propre fille. Quand elle alluma la lumière, tel un robot Elizabelle alla jusqu'à l’interrupteur pour éteindre la lumière, elle ne fit même pas attention à ce qu'elle lui disait... Elle alla près de la fenêtre, Jolianne refusa d'avoir un contact trop grand avec elle.

Pourtant quand elle parla d'une fille, la réaction d’Elizabelle surprit Jolianne qui poussa un hurlement. Sa mère lui faisait mal à son poignet, elle l'emmena dehors mais avant elle mit ces bottes, Jolianne elle était toujours en pantoufle sans manteau. Elle sortirait sans rien, elle tombait malade ce n'était pas grave. Elle l'emmena dans le cimetière, Jolianne pensait que sa mère devenait folle... Qu'il fallait qu'elle fasse soigner mais pour autre chose qu'une hépatite mais elle ne dit rien.

Bientôt, elles s'arrêtèrent devant une petite tombe, où il était marqué : Marie Ange. Jolianne regarda d'abord la pierre puis sa mère. Elle le fit plusieurs fois. Sa mère était toujours silencieuse. Sur la pierre il était marqué aussi le nom d'Elizabelle comme mère et David comme père, ainsi que la date de sa mort. Jolianne comprit petit à petit que le petit être qui était en terre était sa petite sœur. Enfin sa demie-soeur. Jolianne laissa couler une larme sur sa joue. Elle fit non de la tête puis regarda sa mère... Elle lui en voulait terriblement mais encore plus à David. Elle lui dit sur un ton de reproche :

"Tu comptais me cacher encore longtemps que j'allais devenir grande sœur encore une fois. Et que tu l'as perdu et que tu l'as enterrée... Pourquoi tu n'as rien dit ? Pourquoi ? Tu ne voulais pas que le bébé de David ait une soeur comme moi c'est ça. Mais maintenant elle aura jamais de sœur vu qu'elle est morte et que je suis au courant que maintenant... que je n'ai même pas pu avoir un contact avec elle... Merci maman"

Jolianne pleurait maintenant à chaudes larmes, elle en voulait terriblement à sa mère. Elle fit demi tour, toucha la tombe de sa sœur et courut en direction de la sortie du cimetière, elle courut le plus vite possible, elle aperçut alors un banc, elle décida de s'assoir, ses pieds posés sur le banc, pour reprendre son souffle, elle en profita pour envoyer un sms à sa meilleure amie pour lui expliquer que sa mère était enceinte qu'elle lui avait caché et qu'elle avait fait une fausse couche...

Élizabelle avait laissé le temps a Jolianne de s'habiller avant qu,elle ne parte pour le cimetière , mais elle en avait pas prit le temps. Élizabelle n'était pas beaucoup plus habiller que sa fille . Elle avait un simple t-shirt avec un manteau grand ouvert sur les épaules. Quand elle arrivas devant la tombe de Marie-Ange Élizabelle recula d'un pas. Et tourna le dos a la tombe. Elle retourna sur le chemin

Elle tremblait comme une folle. Elle du s'assoir un peu dans la neige pour ne pas perdre connaissance. Elle fesait beaucoup de fièvre encore. Et elle était dehors très mal vêtue. Elle avait du mal a rester près de la tombe. Elle serait prête a tout faire pour que sa fille soit en vie et dans ses bras pas six pieds sous terre.

Elle savait que se serait un choc pour Jolianne. Élizabelle regarda la tombe de sa fille et elle sentie son cœur serrer. Il avait demander au curer de faire faire graver une petite plaque au nom de Gabriel , de Jolianne et de Julie , mais elle ne devait pas être prête , elle n'était pas encore apposer sur la pierre Mais on pouvait voir les trous ou allait s'insérer les vices qui allait tenir la plaque . Élizabelle s'agenouilla devant la pierre tombale de sa fille puis quand elle vit Jolianne partie en courant elle se leva et elle alla la rejoindre a la marche.

elle s'assit sur le banc près de sa fille et elle ne savait pas si elle devait la toucher ou non , mais elle se risqua a mettre la main sur l'épaule de la jeune femme. Elle fini par lui dire

« Je ne savait pas que j'étais enceinte Jolianne , je l'ai appris Lundi, lorsque j'ai accoucher de Marie-Ange. Si j'ai rien dit avant c'est que pour moi c'est quelque chose d'Extremement dure a vivre. Cette fausse couche me brise le coeur.»

Plus Élizabelle en parlait plus elle pleurait et plus elle avait du mal a parler. Elle tremblait encore comme une feuille et elle était encore brulante. Maintenant elle n'arrivait plus a parler. Elle pleurait trop. Elle se détourna un peu de Jolianne, elle n'aimait pas que sa fille la vois comme sa. Elle savait qu'elle n'avait pas eu de contact. Elle n'ont plus n'avait presque pas eu de contact. Le médecin lui avait poser dans les bras deux seconde puis lui avait repris et lui avait dit qu'elle devrait la faire entrer la même journée. Sa serait moins dure pour elle.

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Elizabelle avait laissé le temps à Jolianne de s'habiller, mais l'adolescente de 16 ans n'avait pas voulu s'habiller chaudement. Elle tomberait malade ce n'était pas grave. Par contre que sa mère tombe malade, elle ne voulait pas. Elizabelle n'avait que sur elle un tee shirt et son manteau qu'elle laissait grand ouvert. Elle lui dit sachant que sa mère ne l'écouterait pas :

"Tu devrais attacher ton manteau ou rajouter un pull maman tu vas prendre froid"

Le chemin jusqu'au cimetière se fit silencieux, Jolianne avait toujours mal ou sa maman lui tenait le bras. Quand elles arrivèrent près de la tombe de Marie-Ange, Elizabelle recula d'un pas et tourna le dos et retourna sur le chemin. Jolianne était toute seule, pourquoi sa mère la laissait-elle ainsi ? Elle regarda la pierre et lut plusieurs fois ce qu'il était marqué. Puis elle se retourna vers sa mère qui était maintenant assise dans la neige.

Jolianne ne resta pas plus longtemps ici, elle leur en voulait terriblement. Comment vivre maintenant normalement en sachant qu'elle n'aura pas sa sœur au près d'elle... Finalement Jolianne se disait qu'elle n'avait jamais eu de sœur, elle n'en aurait jamais. Elle l'oublierait. Finalement il n'y avait pas besoin de plaque à son nom. Elle venait d'envoyer son message quand sa mère la rejoint, elle la regarda sans rien dire puis son regard se posa dans le vide. Elizabelle restait silencieuse, et quand elle posa sur l'épaule de sa fille une main, celle-ci sursauta... Elle pouvait sentir la chaleur que dégageait la main, elle savait que sa mère était bouillante. Malgré qu'elle lui en voulait, elle demanderait à sa mère de rentrer quitte à la prendre par l'épaule pour la forcer... Puis elle parla, elle lui expliqua qu'elle ne savait pas qu'elle était enceinte, qu'elle avait apprit que lundi lorsqu'elle avait accouché d'elle. Si elle n'avait pas parlé c'est qu'elle avait extrêmement difficile, cela lui brisait le cœur. Jolianne ne dit rien, elle s'en fichait maintenant... Cela ne l'atteint plus, elle sécha ses larmes, elle entendait sa mère pleurer. Mais Eli se détourna d'elle, encore un coup dur pour la jeune femme...

Au bout d'une dizaine de minutes, Jolianne commençait à avoir froid, et l'état de sa mère n'était pas beaucoup mieux. Comme elle, il y à peu de temps, elle mit sa main sur le bras de sa mère, en lui disant d'une voix distante :

"Viens on rentre... Il commence à faire noir et il fait froid... Tu seras mieux à la maison... Je te ferai couler un bain, ça te feras du bien... Allez viens maman..."

Bien sur qu'elle allait pendant ce temps là, préparer quelques affaires pour aller chez Manon, mais un dilemme s'offrait à elle... Devait-elle laisser le petit Gabriel là bas, alors que ça fait une semaine qu'elle ne s'en occupe pas. Jolianne se leva doucement, et attendit sa maman...

Pour Élizabelle c'est dernières journées étaient très difficile. Elle ne dormait plus que quelque minutes par nuit enfaite une demie-heure entre couper. A chaque fois qu'elle fermait les yeux elle voyait le docteur lui annoncer qu'elle était enceinte et que le travaille commençait qu'elle devait donner naissance a cette enfant donc elle ne savait même pas l'existante. Elle ne le réalisait pas encore qu'elle avait été enceinte pendant trois mois sans même s'en rendre compte. Elle regarda la jeune femme qui était assise près d'elle. Elle avait l'impression qu'après chaque geste et chaque parole elle la perdait. Elle dit a Jolianne.

« Ce n'est pas grave ma chérie , je suis bien comme sa.»

Élizabelle était brulante , mais elle en avait plus la conscience. Elle avait surement attaper quelque chose dans les derniers jour. Une nuit alors que personne n'était au courant elle était sortie sans rien sur le dos pour aller marcher un peu . David ne s'en était même pas rendu compte. Elle avait tenue en ses main la petite couverture dans laquelle le médecin lui avait donner sa fille . Elle l'avait tenue quelque seconde seulement avant que le médecin lui enlève des mains. Elle avait eu une excès de folie a se moment la . Elle ne voulait même plus que David la touche , mais David avait réussit a la raisonner. Mais cela personne n'avait besoin de le savoir . Toute les femmes réagirait surement de la même façon si on leur enlevait un de leur enfants.

Elle regarda la jeune femme et elle lui dit.

« Je n'ai pas envie de rentré , j'ai plustôt envie de marcher , vers on ne sai où,mais je ne veux pas rentré tout de suite. Est-ce que tu veux marcher avec moi.»

Elle laisserait le temps a sa fille aînée d'aller chercher son manteau elle l'attendrait surement ici assise sur le banc. Où elle l'accompagnerait jusqu’à la maison même si son cœur lui disait d'aller vers la petite église qu'il y avait a quelque patté de maison de leur maison.

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Jolianne était avec sa mère dans l'entrée de la maison, mais plus pour très longtemps, elle regardait sa mère mettre ces choses, contrairement à elle qui n'en mettait pas... De toute façon elle se disait que si elle tombait malade, c'est pas sur sa mère qu'elle devait compter. Depuis qu'elle avait perdu le bébé, rien ne comptait pour elle, même pas Gabriel. Elle les avait complètement oublier. Jolianne en souffrait mais n'en avait parler qu'à Manon... Elle aurait voulu faire une bêtise, elle ne l'aurait même pas remarqué... Mais elle en avait pas fait car Gabriel avait besoin de quelqu'un de fort. Jolianne lui demanda quelque chose... Mais comme elle s'en doutait, sa mère n'accepta pas. Elle souffla un bon coup, puis finit par ne rien dire... Sa propre vie ne l’intéressait-il pas ? En avait-elle rien à foutre de ses enfants qui sont là ?

Le petit moment se passa en silence, sauf quand Jolianne parla. Il s'était remit à neiger, elle était toujours sur le banc, elle commençait à avoir froid, mais elle ne dit rien. Ce n'était pas vraiment important. Jolianne voulu faire rentrer sa maman à la maison, mais encore une fois Elizabelle ne l'écouta pas. Jolianne attendait qu'elle se lève, mais elle restait assise. Puis elle le lui dit qu'elle n'avait pas envie de rentrer. Elle voulait juste envie de marcher vers où elle ne savait pas... Mais elle ne voulait pas rentrer tout de suite. Puis elle proposa de venir marcher avec elle. Jolianne détourna un regard de sa mère. Il faisait noir, il faisait froid... Elle aurait pas le choix, elle ne voulait pas que sa mère reste toute seule. Elle souffla un beau coup et lui dit :

"Je n'ai pas spécialement envie d'aller me promener. Mais vu que je ne sais pas ce que tu as prévu, je vais t'accompagner... Mais avant va chercher quelque chose en plus à mettre sur toi, tu vas attrapper encore plus froid. Tu as déjà assez de température comme ça !"

Elle était franche avec sa mère, elle pouvait lui faire mal, mais Jolianne elle aussi avait mal et voulait lui montrer en quelque sorte. Elle n'avait pas confiance en elle en ce moment, et elle lui fit comprendre. Elle avait froid mais elle refusait d'aller chercher quoique ce soit. Même si sa mère lui laisserait aller chercher de quoi mettre sur ses épaules. Mais si Jolianne rentrait à la maison elle n'en resortirait pas, ou alors elle prendra des vêtements non pas pour elle mais pour sa mère, puis elle préparerait aussi entre temps son sac pour la nuit. Puis si Elizabelle voulait parler de sa fille que Jolianne ne connaissait plus. Elle refuserait d'en parler. Pour elle, Marie-Ange n'existait pas un point c'est tout. Elle se leva et attendit sa mère...

Une fois levée, elle commencèrent à marcher, elle envoya un sms à Manon pour la prévenir qu'elle allait marcher avec sa mère et qu'elle viendrait après...

Pour Élizabelle c'était un coup dure a passé , mais elle devait passé au travers. Elle tournerait ses pensé vers la seule personne qui ne l'avait jamais abandonner depuis sa naissance. Élizabelle était une personne très croyante. Elle priait tout les jours. Mais elle le fera encore plus pendant quelque jour. Elle trainait toujours au font d'une de ses poche un chapelait qu'elle avait acheter durant l'un de ses nombreux voyage. Elle ne voulait qu'une chose c'était que sa fille sois dans un endroit ou elle aura jamais peur , ou la douleur n'existe pas et ou tout es parfait. Elle regardait sa fille , elle savait que sa fille voudrait oublier sa petite soeur. Mais la jeune femme ne voulait pas l'oublier elle. Elle sortie de sa poche une petite photo qu'elle trainait partout.

Elle avait cette photo depuis que David lui avait donner la seul photo de sa petite dernière. Elle regarda la photo et passa son doigt doucement sur la photo. Elle regarda sa fille et elle lui dit

« Tu n'est pas obliger de rester avec moi , rentre a la maison je vais marcher un peu et je rentrerai après. »

Elle voyait bien que la jeune femme n'avait pas envie de marcher. Mais cela lui ferais du bien d'être avec sa fille. Elle voulait marcher pour se vider la tête. Elle regarda la jeune femme et laissa s'échapper un petit sourire Elle ne savait pas du tout quoi dire a sa fille.

« Je n'ai pas besoin de quelque chose de plus , mais tu en as besoin plus que moi.»

Dit-elle a la jeune femme. Elle la regarde et elle lui dit.

« Je vais t'attendre ici sur se banc.»

Dit-elle a la jeune femme avant que cette dernière parte.

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Elizabelle était toujours au même endroit, assise sur le banc, par contre Jolianne était maintenant debout face à elle. Elle regardait sa fille, mais elle savait que sa maman pensait à autre chose. Son corps était là mais son esprit était ailleurs. Jolianne savait pourquoi. Mais elle ne savait pas que sa maman avait une photo de sa dernière fille dans la poche. Celle que Jolianne voulait oublier à tout jamais. Elle vit alors sa maman prendre la photo, la regarder et passer son doigt dessus, Jolianne tourna la tête un instant. Mais quand sa mère lui adressa la parole, elle la regarda. Elle l'écouta et fit non de la tête... Elle lui dit :

"Ouais et te laisser toute seule à cette heure ci par ici ? Mais tu es folle ? Tu n'es pas bien, il t'arriverait quelque chose... Je ne veux pas avoir David sur le dos après car il me tiendra responsable."

Non Jolianne n'avait pas envie d'aller marcher et d'y aller avec sa mère. Mais elle ne voulait pas la laisser toute seule. S'il lui arriverait, elle aurait David sur le dos et elle ne voulait pas avoir ça. Elle le détestait tellement en ce moment, encore plus que sa maman. Puis elle vit sa mère faire un petit sourire, au moins elle lui souriait un peu... Enfin c'était plus par rapport à ce qu'elle disait qu'à sa propre présence... Enfin elle souriait chose qu'elle ne faisait plus depuis une semaine. Elle lui dit alors :

"Oui mais contrairement à toi, je suis en meilleure santé... Je n'ai pas de température... Alors s'il te plait remet quelque chose en plus. Moi ça va je n'ai pas froid. Et je tombe rarement malade...

Sa mère lui dit qu'elle l'attendrait ici, elle ne savait pas si elle devait la croire ou pas. Elle souffla un bon coup sa mère était têtue quand elle s'y mettait... Enfin elle se mit à courir... Elle courra vite jusqu'à la maison, en quelques minutes elle arriva chez elle, elle monta quatre à quatre dans la chambre d’Elizabelle, prit une veste plus chaude non pas pour elle mais pour sa mère... Elle redescendit et reprit le chemin inverse, jusqu'à retrouver sa mère. Quand elle l'a vit elle lui dit :

"Bon maman tu vas mettre ça ok ? C'est soit ça et on va marcher. Soit tu ne mets rien et on rentre... S'il te plait maman ne fait pas ta tête de mule.

Élizabelle avait refuser de mettre un chandail plus chaud et de fermer son manteau. Elle avait envie de tomber malade , car elle savait que si elle était malade , elle pourrait surement se rapprocher de sa filles qui était partie. Mais sa elle ne disait a personne, mais c'était encore plus dur que se qu'elle laissait parraître et Jolianne le savait . Voila pourquoi la jeune femme insistait tant pour que sa mère s'habille et le fait qu'elle ne la laissait pas seule.

« Jolianne je ne vais faire que marcher. Rien d'autre que de marcher , il ne m'arriveras rien. »

Elle voulait quand même pas que sa fille s'inquiète pour elle. Elle la regardait droit dans les yeux quand elle disait cela. Ce qui pouvait être mal prit par Jolianne. Elle était assise sur le banc puis elle se leva et elle alla près du lampadaire. Elle regarda la jeuen femme maintenant . Elle ne savait pas du tout comment agir maintenant .

La jeune femme lui fesait du chantage, mais Élizabelle ne voulait pas que la jeune femme tombe malade. Donc elle fini par lui dire.

«J'accepte de fermer mon manteau seulement si tu met ma verste , je ne veux pas que tu sois malade a cause de moi.»

Puis les deux jeunes femmes commencèrent a marcher.Élizabelle le fesait machinalement , elle n'avait pas la même démarche qu'elle avait normalement. Elle regardait devant elle pendant qu'elle marchait. Elle ne savait pas du tout de quoi parler avec sa fille. Mais elle prit doucement la main de Jolianne qui était geler. elle ne voulait pas que la jeune femme aille froid. Elle gardait la main froide de sa fille dans sa main. Elle fini par s'arrêter et elle regarda Jolianne droit dans les yeux.

« je suis désoler pour se que je te fais vivre. Je ne devrais pas vous faire vivre se que je vous fait vivre présentement »

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Jolianne sentait que sa mère la prenait pour une conne. Elle n'était pas débile, elle savait que sa mère avait une idée derrière la tête. Elle savait qu'en tombant malade, elle se rapprocherait encore plus de sa fille qui est partie. Mais pensait-elle à Gabriel qui avait besoin de sa maman plus que tout le monde ici. Et à elle ? Comment ferait elle pour vivre sans sa mère ? Elle se laisserait mourir... Puis il faisait si froid aujourd'hui qu'elle pourrait tomber vite en hypothermie. Jolianne savait que c'était plus grave que ce qu'elle laissait paraître. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle le lui montra avec ses paroles. Elizabelle lui dit qu'elle ne ferait que marcher, rien d'autre et qu'il lui arriverait rien de grave. Elle la regarda et elle lui dit :

"Je ne te crois pas maman... Tu me prends pour une conne. Je devine que tu as une idée derrière la tête. De retrouver ta fille. Je vais pas te laisser faire ça. Pour Gabriel je le ferai c'est sur."

Elle ne voulait pas que sa fille s'inquiète pour elle, mais Jolianne était inquiète, sa mère la regarda dans les yeux, Jolianne l'avait prit mal, voilà pourquoi elle avait parler comme ça à sa mère. Maintenant elle allait plus rien dire ou presque. Quand la jeune fille partit, Elizabelle se leva pour aller près du lampadaire. Elle la regarda mais en silence.

Pendant qu'elle était chez elle, David lui avait demandé où était Elizabelle, elle ne lui avait pas spécialement répondu. Elle n'en avait pas le temps, elle était arrivée quelques minutes après au près de sa mère. Qui était toujours au même endroit qu'à son départ. Elle lui fit du chantage, puis Elizabelle lui parla... Elle était d'accord de fermer son manteau à une seule condition, qu'elle mettait sa veste.

"Je ne serai pas malade à cause de toi. Mais vu que c'est la seule façon que tu acceptes de fermer ton manteau, je vais mettre ta veste. Mais tu fermes d'abord ton manteau, après je la mets."

Elle n'avait pas confiance en sa mère aujourd'hui, alors elle attendit qu'elle attache son manteau avant de mettre la veste. Elle avait quand même plus chaud ainsi. Elles commencèrent à marcher doucement, Jolianne marchait à la même allure que sa mère, mais elle ne lui parlait pas, elle ne la regardait pas non plus. Elle voulait couper tout contact pour le moment avec Elizabelle. Mais sa mère en décida autrement. Jolianne n'avait pas ses mains dans ses poches, donc Elizabelle lui prit la main. Elles étaient gelée mais elle s'en fichait. Elle pouvait supporter le froid. Mais voilà sa maman gardait dans sa main celle de Jolianne, elle avait voulu enlever sa main mais sa maman avait resserrer la pression. Elle avait soufflé en silence. Elle marchait quand elle s'arrêta, Jolianne sursauta et s'arrêta net, Elizabelle la regarda dans les yeux et lui parla. Jolianne haussa les épaules. Elle ne savait pas quoi dire... Elle coupa le contact visuel et lâcha la main de sa mère comme seule réponse. Puis continua à marcher...

Élizabelle avait besoin de marcher elle ne savait pas pourquoi, mais elle était attiré par la petite église qu'il y avait près de la maison. Elle n'avait pas envie de rentré elle irait marcher peut importe se qui se passerait avec son autre fille elle avait besoin de cela. Elle avait besoin de parler a quelqu'un de se qui se passait et elle savait que le prête de la petite église l'écouteras surement , car elle ne comprenait plus sa grande fille.Elle ne comprenait pas pourquoi elle ne pouvait pas lui parler de sa petite . Elle s'emblait vouloir l'oublier , comment allait-elle faire cela.Pour Élizabelle se serait impossible. Elle regarda Jolianne et elle préféra ne pas parler . Elle voulait pas aggraver la situation.

Elle savait que sa fille aurait besoin d'elle et que son fils aussi. Il y avait aussi Julie qui n'était pas encore au courant de la situation ,car elle passait la semaine chez sa mère. Son père voulait pas lui annoncer au téléphone. Il voulait lui dire de vive voix. Mais comment allait réagir Julie. Voudra-t-elle voir sa soeur , parler avec Élizabelle de tout cela. Élizabelle serait la pour en parler avec elle. Julie ferait-elle comme Jolianne ?...

« D'accord je vais fermer mon manteau d'abbord.»

Dit-elle avant de fermer son manteau elle glissa quelque temps ses mains dans les poches de son manteau . Car elle sentait plus le bout de ses doigts. Elle voulait les réchauffer un peut. Puis elle commença a marcher avec sa fille. Elle lui prit la main.

Elle marchait avec sa fille et elle marchait sans parler. Elle ne savait pas du tout quoi dire . Quand subitement elle avait arrêté de marcher et qu'elle lui avait dit qu'elle était désoler de ne lui faire subir se qu'elle lui fesait subir. Puis elle lui dit.

« Je suis désoler aussi de ne pas te l'avoir dit la journée même . Après cette événement j'était complement perdu. J'ai prit cette photo juste avant que le médecin m'enlève Marie-Ange des mains . Je ne sai pas si tu veux la voir , mais je te laisse.»

David avait fait plusieurs copie de cette photo . Il en avait mit une dans leur chambre sur le mur près du lit ou il y avait une photo de chacun des enfants. Il avait Jolianne, Gabrielle,Julie et Marie-Ange maintenant. David qui ne voulait plus avoir de contact avec Audrey n'avait pas mit de photo de sa deuxièmes filles. Tout les enfants était sur une même lignes et au dessus d'eux il y avait une photo de Mariage de David et D'Élizabelle. Donc si Jolianne voulait garder cette photo elle pouvait la garder.

Messages : 260 Date d'inscription : 23/04/2011 Age : 28

Elle sentait que sa maman avait besoin de marcher, mais elle ne savait pas où... Du moins elle avait envie de rester seule, et qui sait faire une connerie. C'était pour ça que Jolianne avait acceptée à contre cœur de la suivre. Car oui elle en voulait à sa mère. Comment pouvait elle lui cacher une chose pareil ? Mais elle ne voulait pas non plus qu'elle fasse une connerie, elle avait besoin d'elle et surtout Gabriel dont elle ne s'occupait plus depuis une semaine. Donc c'est par peur qu'elle restait et peut-être par besoin.

Une chose était certaine c'est qu'elle ne voulait pas connaitre Marie-Ange, pour elle, elle n'existait plus. C'est une personne inventée par sa mère. Pour quelle raison elle n'en savait rien. Mais pour Jolianne c'était tout simplement impossible de se dire et de croire qu'elle était grande sœur à nouveau. Sa mère la regarda un instant, mais Jolianne coupa le contact directement. Elle se demandait si Julie était au courant, elle voulait lui dire par cellulaire, mais non elle devait déjà être au courant, Julie était la chouchoute de David et d'Elizabelle donc elle était déjà au courant, puis d'un coté Jolianne s'en fichait de sa "petite soeur décédée" vu qu'elle n'existait pas. Avant de partir chercher le manteau de sa mère, elle lui demanda :

"Je parie que Julie est déjà au courant ? Comment a t elle réagit ? Mieux que moi je parie vu qu'elle a été mit au courant tout de suite

Elle partit et revient quelques minutes plus tard, Jolianne lui demanda de mettre d'abord son manteau, chose qu'elle accepta. Comme Elizabelle lui avait demandé de mettre son manteau sur ses épaules, Jolianne l'écouta aussi. Mais bon elle devait déjà avoir refroidit. Elle le mit et l'attacha. Elle avait déjà plus chaud que tantôt. Elles commencèrent ensuite à marcher doucement, Elizabelle lui prenant la main. Jolianne ne voulait pas de contact, mais elle accepta quand même ce petit geste.

Tout était silencieux, ce qu'on entendait c'était le bruit du vent qui faisait tombé la neige, Jolianne ne voulait parler de rien, sa mère l'arrêta et finalement la regarda avant de lui dire qu'elle était désolée, désolée de ne pas l'avoir dit de suite, qu'elle était perdue, puis lui expliquer qu'elle avait une photo de Marie-Ange, que c'était la seule qu'elle avait avant qu'on lui enlève des mains et qu'on l'emmène. Jolianne dégagea sa main, elle regarda sa mère droit dans les yeux. Elle ne savait pas quoi dire, ou plutôt comment le lui dire. Car ce qu'elle lui dira fera surement de la peine à sa maman. Elle lui dit sur un ton sec et avec des reproches

"Maman... tu peux la garder cette photo, j'en veux pas ! Ce n'est pas ma petite sœur. Je n'ai jamais eu de petite sœur ! C'est quelqu'un d'ordinaire, quelqu'un qui n'est pas de ma famille... Garde là moi je ne veux rien avoir d'elle."

Voila c'était dit... Elle ne savait pas comment allait réagir sa maman. Mal surement. En plus elle s'en fichait pas mal de ces excuses. Elle lui en voulait et ça ne changerait pas de sitôt. Jolianne regarda sa mère et resta silencieuse...

Elle ne savait pas du tout comment faire pour que sa fille comprenne qu'elle l'aimait et que la jeune femme redevienne comme elle était avant cette histoire. Elle avait tellement peur de la perdre ... Elle connaissait sa fille comme seule une mère peut la connaite et elle avait vraiment du mal a la voir comme sa. Comment pouvait-elle se foutre de Marie-Ange. Alors que c'était tellement dure pou elle de le faire. Elle regarda Jolianne droit dans les yeux quand elle lui demanda si Julie était au courant. Élizabelle ne lui avait rien dit et comme elle savait que DAvid ne tenait tellement pas que Jolianne soit mise au courant tout de suite Julie ne devait pas ¸être au courant. Elle regarda sa fille encore et elle lui dit.

« Non elle n'est pas au courant seule David et moi somme au courant maintenant toi .... »

Dit-elle a la jeune femme . Elle regardait sa fille et elle avait du mal a retenir ses larmes. Elle était tellement triste présentement. Elle avait peur de perdre tout le monde. Elle avait peur de ne pas pouvoir continuer a être une aussi bonne mère que ce qu'elle était présentement pour ses enfants. Quoi demander de plus que du soutient de tout le monde qu'elle aimait pour pouvoir passé au travers de cette dur épreuve. Cela David l'avait comprit, mais est-ce que Jolianne allait le comprendre ou elle devait lui dire.

Elle partie de marcher vers l'église et a deux coins de rue de l'église Élizabelle c'était arrêté et elle avait prit sa fille par le bras pour la stopper. Elle tenait dans sa main depuis le début du trajet une petite photo qui avait un poids si lourd dans son coeur de mère c'était se qui lui restait de sa marie-Ange. Son petite ange. Il l'avait appellé Marie-Ange , car elle était venu au monde sans qu'ils ne sache qu'elle était la et elle était partie sans même avoir eu le temps de poussé un seul cris. Les médecins croyait encore qu'il devait rapidement séparer la mère et le bébé pour qu'elle ne s'attache pas trop a son enfant pour ne pas qu'elle dévelloppe une dépression pas partoum... Mais ce n'était pas du tout se qu'aurait du faire le médecin aurait du faire avec Éli , car elle était entrain de développer justement une dépression pos partoume. Mais personne ne semblait remarquer. Ce n'était pas une dépression sévère, mais elle devrait être surveiller.

Elle regarda Jolianne en lui tandant la photo , mais cette dernière lui dit qu'elle ne voulait rien savoir de sa soeur. Donc elle lui dit :

« Comment peux-tu dire cela. Cela te fait rien de savoir que tu avais une petite soeur ?»

Elle ne comprenait rien et elle pleurait ... encore plus que tout a l'heure. Elle avait eu du mal a dire sa dernière phrase complètement tellement elle pleurait.

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Jolianne en voulait plus que tout à sa mère et à son beau-père. Et elle voyait qu'Elizabelle ne la comprenait pas du tout. Elle devrait faire comme si de rien n'était. Passé sur le fait qu'elle lui cache l'existence d'une petite sœur. Mais comment Jolianne peut-elle passer au dessus de ça ? Comment accepter une petite sœur qu'on ne connait pas, qu'on a pas vu une seule fois. Qu'elle se retrouve dans la terre, et de ne pas se trouver à l'enterrement.

Jolianne savait que sa maman la connaissait comme peu de monde pouvait la connaitre. Mais elle avait des doutes aujourd'hui. Elle savait que c'était difficile pour sa mère, elle le comprenait. Normal elle avait eu un contact avec elle. Jolianne n'avait rien eu sauf une photo. Cela ne pouvait pas être la même chose, rien ne serait plus pareil aujourd'hui. Elle l'avait changé. Puis sa mère lui dit pour Julie, elle haussa les épaules. Elle ne voulait plus être au courant de cette histoire. Elle n'aurait jamais voulu savoir cela.

"Ben finalement tu aurais du te taire. Je regrette aujourd'hui de le savoir !!! Rien ne sera plus jamais comme avant ! Merci"

Jolianne pleurait presque, elle avait tellement mal. A cause du comportement de sa maman. Sa mère quand à elle, avait du mal à ne pas pleurer. Mais Jolianne ne faisait pas attention à ça loin de là. Elles prirent la direction de la petite église mais Eli s'arrêta pour discuter, et lui tendre surtout une photo de Marie-Ange. Jolianne ne la regarda pas tout de suite. Elle ne voulait pas voir un mort. Et encore moins un bébé. Sa mère lui posa une question. Elle ne réfléchit pas et répondit de suite d'une voix assez froide et sec.

"Peut-être que si j'avais été mise au courant le jour ou vous l'avez perdu et que vous m'auriez dit le jour de l'enterrement pour lui dire au revoir, je ne parlerai pas comme ça aujourd'hui. Une petite sœur dont on connait même pas l'existence, qu'on a pas pu prendre dans ses bras. Je n'appelle pas ça une petite sœur."

Elle ne comprenait rien, Elizabelle pleurait beaucoup plus que tout à l'heure, Jolianne aussi pleurait maintenant, car elle avait tellement mal. Elle était tellement perdue, elle ne savait pas quoi penser. Comment devait elle vivre maintenant en sachant que oui elle avait une demie-soeur, mais qu'elle ne la verrait jamais. Qu'elle n'aura jamais eu de contact avec elle.

Élizabelle regrettait vraiment d'avoir tout fait trop rapidement. Elle avait peur maintenant de perdre ses deux autres enfants complètement. Elle paniquait juste le fait d'y penser. Elle avait vraiment du mal avec tout cela . Elle voyait que David ne semblait pas avoir aucune réaction face a tout sa elle se disait qu'elle était peut-être pas normal de réagir comme sa .

Lorsque sa fille lui dit qu'elle aurait du se taire et ne rien dire , que sa aurait été mieux que ce que c'était maintenant fut la goute qui fit déborder le vase. Elle éclatât en sanglot et elle se referma quelque instant sur elle même. Élizabelle avait eu envie de faire des conneries plusieurs fois depuis la mort de Marie-Ange , mais se qui la retenait a la vie c'était sa fille ainée et Gabriel , mais maintenant elle semblait avoir perdu sa fille ainée et pour son fils elle était une très mauvaise mère. Elle ne sut pas du tout quoi dire a la jeune femme qui se tenait devant elle , elle lui avait tout dit parce qu'elle trouvait qu'elle devait lui dire ,mais c'est tout le contraire que pensait la jeune femme. Et bien elle ne savait plus du tout quoi dire. Elle restait silencieuse le reste du trajet jusqu'à l'église.

Le seule moment ou elle parla ses pour tendre la photo de Marie-Ange et d'essayer de s'excuser pour arranger les choses avec sa fille qui n'était pas une mince affaire.

Mais le ton et la façon dont sa fille lui avait répondu l'avait jeter par terre. Elles étaient arriver a l'église , elle ne put entré tout de suite . Elle s'installa dans les marches de l'église et elle essayait d'arrêté de pleurer et de se calmé. Elle ne voulait pas qu'on la vois comme sa. Élizabelle était tellement vulnérable mentalement si quelqu'un aurait voulut abuser d'elle il aurait surement réussit dans la condition qu'elle est présentement.

Après avoir réussit a se calmé un peu . Elle entra dans l'église avec Jolianne qui la suivait . Elle alla s'assoir au premier rang , il n'y avait personne d'autre que les deux jeune femme dans l'église a par le prête et une sœur qui s'occupait de quelque chose dans l'église . Le prête avait suivis Élizabelle durant sa maladie a l’hôpital. Élizabelle s'assit sur un ban et elle ne regarda personne ,elle était replier sur elle même et elle ne fesait que jouer avec sa bague de mariage ou se gratté la main . Elle ne savait même pas si Jolianne l'avait suivis jusque la .

Si ont était près d'elle on entendait se qu'elle marmonnait . Elle n'arrêtait pas de dire .

« Je suis une mauvaise mère, je n'ai jamais été correcte avec mes enfants.»